Soyons reconnaissants aux personnes qui nous donnent du bonheur, elles sont les charmants jardiniers par qui nos âmes sont fleuries.
Marcel Proust
Bon 1er Mai à vous toutes et tous au nom du groupe
Pour Nandrin,citoyenne !!!!!!
Comportements passéistes et propos rétrogrades, telle la réflexion que suggère le dessin de Sandron dans le journal l’Avenir de ce lundi 5 mars 2018, faisant suite aux articles des pages 2 et 3 « Tranquilles, les truands de l’environnement ? » et en page régionale 7 : Nandrin – Déchets au Péry : le collège pas encore fixé sur son sort. »
Faisant suite à la « Répression de la pollution », entre autres, par l’entreposage de fraisats hydrocarbonés (voir dessin très suggestif !) illégaux sur le site du Péry, les membres du collège communal de Nandrin risquent une (petite ?) amende qui pourrait leur être infligée par un fonctionnaire sanctionnateur !
Malheureusement, une première pour Nandrin !
A propos de cette Unité de répression des pollutions (URP), créée en 2006 par le gouvernement wallon et chargée de lutter contre la criminalité environnementale, voici ce que la Cour des Comptes disait d’elle, en juillet 2017 : « La cour observe qu’une partie significative de l’action de l’URP ne s’inscrit pas dans la lutte contre la criminalité environnementale organisée mais se cantonne à la verbalisation d’infractions que cette dernière qualifie elle-même de bénignes et qui relève plutôt de la police administrative communale ».
Et de faire le constat suivant : « Si rien ne change à l’URP, le crime environnemental organisé a encore de beaux jours devant lui ».
Si « Pour Nandrin, citoyenne n’avait pas mis le feu aux poudres » en interpellant la Police de l’Environnement, comme l’a écrit, très justement, la journaliste de l’Avenir, c’est une véritable « poudrière », en plein quartier du Péry, vieille de plusieurs années qui allait « exploser » et défigurer tout un hameau, au cœur même des infrastructures sportives communales.
Incroyable qu’en 2017-2018 de telles infractions soient, encore, sciemment commises et que la majorité PS-cdH-ECOLO (hé oui, un comble avec des Ecolo !) du tandem PS Lemmens-Pollain n’ait réagi que sous la contrainte de la Région wallonne et encore fort tardivement, puisque le site n’a été nettoyé qu’en février 2018 et non, comme l’a déclaré l’autorité communale, au lendemain de l’envoi du procès-verbal, fin août 2017, cinq mois plus tard, donc.
Face à ces procédés d’un autre âge que tout un collège et une administration ont TOLERE sans réaction, au vu et au su de tout un conseil communal, il revient au citoyen nandrinois de changer cet état de choses et de dire STOP, encore STOP et toujours STOP.
Comme vous le savez et tel qu’annoncé dans notre premier toutes-boîtes de décembre 2017, la liste d’opposition « Pour Nandrin, citoyenne », a décidé de poursuivre, au-delà de 2018 et jusqu’en 2024, ses actions citoyennes en misant, à nouveau sur la collaboration des Nandrinoises et des Nandrinois.
Avec pour slogan, « Pour Nandrin et (avec) VOUS » en 2012, notre mouvement citoyen avait déjà amorcé, avec conviction, volonté et enthousiasme, le désir de changement des pratiques politiques.
Il faut poursuivre car des partis politiques maintiennent, envers et contre beaucoup, des procédés inacceptables pour la démocratie.
Plus que jamais, se voulant « l’Alternative » aux égarements politiciens actuels d’une majorité éclatée et qui tente de se refaire une santé de manière démagogique et superficielle, il est temps d’affirmer que le programme de gestion citoyenne et participative qui sera mis en place, au lendemain du 14 octobre 2018, se voudra autant sérieux que réaliste et autant cohérent qu’efficace.
Mais, son contexte défini, il sera d’abord vôtre, « Le Vôtre pour 2024 ».
C’est pourquoi, dans les prochaines semaines, parviendra dans toutes les boîtes aux lettres de Nandrin, une consultation populaire qui, sous forme de questionnaire permettra à chaque nandrinois, quel que soit son âge, en âge de voter ou non (les pré-adolescents et les adolescents doivent aussi se sentir concernés), de donner son avis et de définir ses priorités en matière de gestion communale pour 2018-2024.
La dernière fois qu’un tel retour au citoyen fut réalisé date de … 1994 : il était, donc, temps que le Citoyen reprenne les choses en mains.
Nandrin, la Porte du Condroz, doit retrouver sa place de commune-pilote du Condroz, pour suggérer avec d’autres entités communales, des dynamiques supra-communales.
Mais d’abord, elle doit retrouver confiance en elle, en sa spécificité et qualité de commune semi-rurale, en sa capacité de modernité, en sa culture et en son enseignement (à redynamiser), en son art de vivre associatif, etc.
La confiance donc mieux que l’optimisme, la détermination mieux que la résignation, l’expérience mieux que le rêve seront les moteurs du renouveau « Pour (une commune de) Nandrin, (enfin) citoyenne ».
Il suffit d’y croire et de le vouloir, le 14 octobre prochain.
uPNa
Photo : L’Avenir H-W du 5 mars 2018 Sondron
Faisant suite à l’enquête publique relative à la régularisation de la zone de stockage de déchets et de matériaux résultant de travaux communaux sur le site du Péry, le groupe « union Pour Nandrin/Pour Nandrin, citoyenne communique le courrier que ses trois élus au conseil communal, Marc Evrard, Bogdan Piotrowski et Didier Maka ont fait parvenir ce lundi matin, 5 février, aux autorités communales de Nandrin.
Pour rappel, c’est en date du lundi 21 août 2017, qu’alertée par « union Pour Nandrin (uPn/PNc), ainsi que le relate le journal « La Meuse », ce jeudi 8 février dans son article « Forte mobilisation contre les terres du Péry » , la police de l’Environnement de la Région wallonne a débarqué sur le site controversé et a constaté ce qui fut qualifié par le bourgmestre lui-même, de « situation indélicate » (!).
Un mois plus tard, le 19 septembre 2017, notre groupe politique adressait un courrier au collège communal, l’invitant à inscrire un point complémentaire à l’ordre du jour du conseil communal du 25 septembre 2017, intitulé « Etablissement : mise en conformité pour l’entreposage des déchets issus de travaux communaux » .
Ce point qui ne fut pas accepté par le collège communal fut, par ailleurs, à la base de la prise de conscience qui conduisit à l’enquête publique qui vient de trouver son aboutissement en ce 5 février.
Pour permettre à chacun de se faire la meilleure opinion sur cette problématique, nous vous livrons le texte de notre intervention, dans son intégralité.
Bonne lecture.
uPNa
uPN PNc lettre réclamation enquete Pery clic ici .pdf
Quel bel exemple pour les citoyens Nandrinois, appelés, tous les jours, à devoir observer diverses réglementations communales en matière de respect de l’environnement !
Quel comble quand les donneurs de leçons que sont les Ecolo représentés par A. de Potter, échevine de l’Environnement et associée à son ex-collègue Ecolo, Ch. Tilmant, échevine de l’Aménagement du Territoire, H. Dehareng, l’échevin des Travaux et les autres membres du Collège, se voient pointés du doigt, de manière magistrale, par la Cellule liégeoise de l’Unité de Répression des Pollutions (Département de la Police et des Contrôles) du SPW Wallonie environnement !
Dans cette affaire des remblais de fraisats hydrocarbonés de routes (raclages) enfouis autour du nouveau bâtiment de l’administration communale et des dépôts sauvages de ce type de déchets et autres matériaux inertes et de boues de curage et/ou d’étang sur le site du Péry, c’est LA COMMUNE de NANDRIN, à savoir tous les membres du Collège communal mais aussi l’administration qui ont été avertis et menacés d’une sanction grave (8 jours à 3 ans d’emprisonnement et 100 à 1.000.000 d’euros) s’ils ne régularisaient pas, pour le 30 septembre prochain, lesdits dépôts NON AUTORISES et s’ils n’aménageaient pas le site ou un autre, aux fins de PROTEGER LE SOL.
Amateurisme, irresponsabilité, faute : chacun appréciera !
Mais, par les temps actuels où il est demandé aux « responsables » politiques et aux autorités publiques particulièrement, de prendre des mesures pour veiller à la sécurité et la santé des personnes mais aussi des biens, on ne peut que s’indigner et condamner un tel laisser-aller et laisser-faire, une pareille négligence et cette absence totale de l’intérêt de la population nandrinoise et du bien public communal.
Pire, cette attitude est COUPABLE dans la mesure où ces élus communaux, décideurs car membres du collège exécutif communal, connaissaient la problématique puisque, depuis 2013, à SIX reprises, les trois élus du groupe « union Pour Nandrin », les ont interpellés, à SIX reprises, en séance du conseil communal (ce qui avait conduit, en 2014, à un déplacement des monticules de fraisats, … 500 mètres plus loin !!!) et plus particulièrement l’échevin des Travaux, Henri Dehareng qui, A CHAQUE FOIS, répondait que la Région wallonne, interrogée, estimait qu’il n’y avait pas de problème (tu parles !!!).
Encore, cette attitude est FAUTIVE dans la mesure où l’administration communale placée sous l’autorité du directeur général et plus particulièrement, les services administratifs de l’Environnement, de l’Aménagement du Territoire ainsi que celui des Travaux qui doivent connaître la législation en vigueur, ont laissé faire et n’ont pas ni averti ni pris les mesures face au non-respect des lois et des règlements.
Au conseil communal de ce lundi 25 septembre, le groupe « uPN » a donc mis en cause l’ensemble du collège communal, en pointant particulièrement la gestion de ce dossier par l’élu Henri Dehareng qui, contrairement au bourgmestre M. Lemmens, n’a pas assumé ses responsabilités d’échevin.
Pire, placé face à ces « mauvaises habitudes bien ancrées » en la matière, H. Dehareng a tenté, sans convaincre quiconque, de se faire passer, depuis cinq ans, pour la victime de quelque acharnement à son égard, comme si son action est et avait été, à la tête du secteur des Travaux, suffisamment exposée et « magistrale » pour qu’elle soit (en permanence) critiquée.
Par contre, quand on a mauvaise conscience, on cherche TOUJOURS à faire diversion et à trouver un bouc émissaire, surtout quand celui-ci vous a « botté les fesses ».
Enfin, la commune de Nandrin (qui par ailleurs n’a pas le choix), va se mettre en ordre, nettoyer le site « immonde », promettant que TOUT cela n’arrivera plus, au-delà du 30 septembre … 2017.
Wait and see, donc.
Enfin, il nous plaît pour conclure, une fois n’est pas coutume, de saluer le « mea culpa » du Bourgmestre qui, à l’inverse d’autres (politiques et fonctionnaire) autour de lui, avait décidé d’assumer ses responsabilités, fort tard néanmoins, faut-il en convenir.
uPNa
Depuis 2005, la commune de Nandrin a pris la fâcheuse habitude de déposer et de stocker, pour un temps plus ou moins long, des déblais provenant de divers travaux réalisés, à son initiative, aux différents coins de l’entité.
C’étaient généralement des résidus de type briquaillon, de la terre ou encore des déchets verts que le personnel du Service communal des Travaux transportait rue du Péry, à côté de l’ancien parking du club de football de Villers-le Temple et en face du parc communal du Péry.
La commune, au grand dam des riverains qui eurent à subir pendant des années ces amoncellements, pas toujours très esthétiques et à l’hygiène douteuse, de bonnes « âmes » venant y déverser de temps à autre leurs « propres » déchets, ne fit rien pour modifier cette situation et continua à augmenter ces « terrils ».
Cette situation qui perdurait encore en 2013, fut dénoncée par notre groupe politique « union Pour Nandrin » et l’échevin des Travaux H. Dehareng promit, pendant près d’un an, d’y remédier et de faire disparaître ces tas de « crasses ».
A ces tas, la commune commença à y amonceler le produit du RACLAGE des routes, en petites quantités d’abord.
Et un jour, après la réalisation des nouveaux terrains de football synthétiques, tout disparut et le site fut assaini, en tout cas à cet endroit précis, à savoir en face du terrain communal de tennis.
Mais, quelle ne fut pas la surprise de tout le quartier (et des Nandrinois) quand les riverains découvrirent que les tas avaient été déplacés derrière la haie d’une propriété privée de la rue Tige des Saules, en bordure des terrains achetés en son temps, par la commune, pour y construire le défunt hall « omnisports » (à l’arrière du hall-entrepôt communal de l’Espace des saules).
Pour les habitués des « grands feux » et autres festivals de musique qui se déroulent sur le site du Péry, chacun identifiera parfaitement l’endroit d’autant mieux que les amoncellements allaient devenir tellement hauts et importants que de leurs sommets, il devenait aisé de s’y percher pour avoir une (belle) vue de l’ensemble dudit site.
Quand on sait que, seulement quelques riverains (moins d’une dizaine de personnes !) en étaient incommodés autant par la vue que par les nuisances, on peut penser que cela agréait parfaitement les responsables communaux de maintenir les choses en l’état.
« union Pour nandrin » a, à nouveau, interpellé le collège communal pour s’étonner de ces nouveaux stockages de déblais d’autant plus que, cette fois, en plus des habituels décombres de type briquaillon et terres, il y fut entreposé et stocké, A MEME LE SOL, des dizaines de tonnes de RACLAGE BITUMEUX, résidu en provenance des travaux réalisés par des entreprises privées sur les routes communales (cf. la définition de ce type de résidus selon la législation en vigueur : en annexe).
Ces dépôts existent donc depuis 2014-2015 et ont atteint des sommets (c’est le cas de le dire !) durant ces derniers mois au point qu’ils étaient visibles depuis les nouveaux terrains de football.
Nous avons dénoncé, à plusieurs reprises cette nuisance grave, d’autant plus qu’il est probable qu’une des deux voies d’alimentation en eau qui fournissent la source communale de Marnave (70 % de l’approvisionnement global) de la SCRL IDEN, notre petite intercommunale des eaux, se situerait et passerait en dessous de ce site du Péry !
(Pour rappel, le futur « Point Ferme » qui sera bientôt construit par le G.A.L. « Pays des Condruzes » dans le hall communal de l’Espace des Saules, lequel vendra des produits frais de l’agriculture locale, fera face à ces monticules noirs qui rappellent les belles heures de l’industrie minière liégeoise).
A chaque fois devant notre insistance, il nous fut répondu que les dépôts ne présentaient pas de nuisance pour l’environnement et pour les riverains en particulier.
Chères Concitoyennes, chers Concitoyens,
Pourquoi alors, nous direz-vous, alerter l’opinion publique et surtout les autorités communales, une nouvelle fois et de manière plus incisive, pour un problème connu et qui ne présenterait, à priori, aucun danger ?
Tout simplement, PARCE QUE, alors que cette « pollution », en tous cas, ces dépôts sauvages et non autorisés de produits à tout le moins TOXIQUES qui, jusqu’à preuve du contraire après analyses par l’Institut scientifique de service public (ISSeP) de Liège, pourraient revêtir un caractère DANGEREUX, se sont aujourd’hui, et plus particulièrement depuis la semaine du 15 août et jusqu’à ce lundi 21 août à 15 heures, DEPLACES vers et sur la place de Nandrin, AUTOUR DES MURS de la NOUVELLE ADMINISTRATION COMMUNALE.
Comment ?
Des camions de l’entreprise responsable du chantier de ce bâtiment que nous avons qualifié, en son temps, de « démesuré » pour notre commune, ont VIDE tous les tas de DEBLAIS BITUMEUX du site du Péry pour remplir tous les espaces autour des fondations du nouveau bâtiment !!!
Incroyable mais vrai, tous les produits du RACLAGE se trouvent, aujourd’hui, enfouis AU CŒUR même du village de Nandrin, au pied des bâtiments Musin, de l’église Saint-Martin et de l’ancien tribunal de Justice de Paix, centre historique de notre entité.
Des tonnes de produits BITUMEUX, en lieu et place des déblais retirés et qui, selon le Cahier spécial des Charges des Travaux, devaient être replacés au même endroit !!!
Jugez plutôt par cet extrait dudit Cahier :
« 11.3. Remblais et travaux connexes :
Les remblais concernent tous les remplissages périphériques et /ou rehaussement de la zone autour ou entre les fondations réalisées, …
Les matériaux utilisés prévus pour les remblais ne peuvent en aucun cas contenir des décombres, des matériaux de démolition, … ou d’autres déchets.
Conformément aux clauses du cahier des Charges, LES REMBLAIS SERONT EFFECTUES A L’AIDE DE TERRE et/ou de sable stabilisé.
L’entrepreneur est tenu de présenter un CERTIFICAT D’ORIGINE DES TERRES APPORTEES.
(…) Lorsque les terres sont apportées à destination, le pouvoir adjudicateur est en mesure de DEMANDER un CONTRÔLE D’IDENTIFICATION. »
Pourquoi le cahier spécial, voté par le conseil communal, n’a-t-il pas été RESPECTE ?
POURQUOI ???
Ce lundi 21 août, après-midi, faisant suite à une interpellation et face à telle situation d’importance écologique et environnementale grave, deux agents de la Police de l’Environnement de Liège du Service public Wallonie (SPW) sont descendus sur les sites de la place de Nandrin et du Péry pour constater les faits et effectuer des prélèvements qui sont en cours d’analyse à l’ISSeP de Liège.
Conséquemment, les travaux de remblayage ont été stoppés immédiatement.
Parallèlement, un camion communal a évacué un tas de terre au Péry.
Interpellant, non ?
Manifestement, pour qu’une telle police se déplace, c’est qu’il y a matière à investigation et que ces remblayages posent question(s), nonobstant le non-respect du cahier des Charges et les dépôts « sauvages » de raclage acheminés au Péry depuis plusieurs années.
Quand on pense que l’on a démoli un bâtiment de la fin des années 40, prétendument insalubre pour le remplacer par un nouveau d’un coût de près de 1.900.000 euros, lequel est aujourd’hui ceinturé par des dizaines de tonnes de déblais bitumeux toxiques alors qu’on devait réutiliser les déblais d’origine et de la terre scientifiquement prouvée, SAINE, on doit estimer qu’agir de la sorte est IRRESPONSABLE.
Car, sur ce site, si on en croit les autorités communales, ce sont plusieurs dizaines de personnes qui vont travailler quotidiennement à côté de ce type de remblais.
Et s’il s’avère, après analyses, que la norme de 50 ppm devait être atteinte, TOUS CES REMBLAIS devraient être retirés par l’entreprise, aux frais de la commune de Nandrin, donc des citoyens !
D’où, des coûts supplémentaires gaspillés par un manque de rigueur et de sérieux dans la gestion du dossier !
Vraiment, il est PLUS que temps que cette législature s’achève car, depuis cinq ans, notre commune est aux mains d’apprentis-sorciers qui, dans cette problématique, viennent de porter atteinte à notre environnement et qui sait, pourrait porter atteinte à la santé de concitoyens dont des employés communaux.
Et si, maintenant, pour exprimer notre mécontentement et notre courroux face à tant de « légèretés », nous, citoyens, nous nous saisissions de quelques douzaines d’œufs bien « contaminés », croyez-vous qu’ils apprécieraient et qu’ils en feraient tout un plat ?
Pas sûr d’autant plus que les quelques ECOLO qui siègent au sein de cette majorité, crieront, peut-être, CETTE FOIS-CI, … au scandale !!!
UPNa (24/08/2017)
Législation/Déchets/Catégories de déchets/Catalogue
environnement.wallonie.be Coordination officieuse. 10 juillet 1997 – Arrêté du Gouvernement wallon établissant un catalogue des déchets (M.B. 30.07.1997 – err. 06.09.1997) |
Gravillons de granulats recyclés d’enrobés hydrocarbonés …
www.brrc.be Dans l’EURAL (liste européenne de déchets), les débris bitumineux contenant du goudron sont repris sous le code 17 03 01* «Mélanges bitumineux contenant du … |
( Voir §. 2 Qualité environnementale)
L’Art. 3 de ce décret précise qu’ l est interdit à quiconque de se débarrasser des déchets dangereux, si ce n’est :
– 1° soit, en procédant à leur élimination ou à leur valorisation dans ses propres installations dûment autorisées;
– 2° soit, en les confiant à un tiers bénéficiant de l’agrément requis pour assurer la collecte ou à un tiers agréé et autorisé pour effectuer le regroupement, le prétraitement, l’élimination ou la valorisation des déchets [ … ] dangereux;
– 3° soit, en les confiant à une installation située en dehors du territoire de la Région wallonne
Le chapitre IV traitant de l’agrément des personnes autorisées à éliminer ou à valorisation de tels déchets.
11.3 REMBLAIS ET TRAVAUX CONNEXES
Les remblais concernent tous les remplissages périphériques et/ou les rehaussements de la zone autour ou entre les fondations réalisées; soit la remise en profil du terrain conformément aux plans d’exécution.
les prix unitaires prévus pour ce poste comprendront l’épandage des matériaux de remblai en couches de 30cm damées se succédant correctement, le compactage (damage, cylindrage, …) du matériau de remblai.
Les matériaux utilisés pour les remblais ne peuvent en aucun cas contenir des décombres, des matériaux de démolition, des mottes de gazon, des troncs, des matériaux gelés ou d’autres déchets. Conformément aux clauses de cahier spécial des charges, les remblais seront effectués à l’aide de terre et/ou de sable stabilisé
L’entrepreneur est tenu de présenter un certificat d’origine des terres apportées. A cet effet, l’entrepreneur fera contrôler la terre sur son terrain d’origine et prouvera au moyen d’un rapport de gestion que la terre livrée satisfait aux exigences en matière d’environnement.
Lorsque les terres sont apportées à destination, le pouvoir adjudicateur est en mesure de demander d’effectuer un contrôle
Fait suffisamment rare que pour être souligné, le journal l’Avenir a tenu à relever, dans son édition Huy-Waremme de ce mercredi 21 décembre, que notre groupe politique d’opposition «union Pour Nandrin s’était montré tout à fait ravi du projet » de rénovation de l’ancien presbytère de Villers-le-Temple transformé en maison de village, projet subsidié à 80 % (700.000 euros pour un coût total de 875.000) par le FEDER.
Et n’en déplaise au bourgmestre M. Lemmens qui s’est encore laissé aller à une indélicatesse verbale habituelle dont il a le secret, puisqu’il a déclaré qu’uPN « ne menait pas une opposition positive », quand on sait que notre groupe a voté, depuis 4 ans, favorablement ou s’est abstenu sur plus de 80 % des dossiers proposés par la majorité et a initié 18 points complémentaires rejetés, tous, eux, par la majorité !
De plus, nous croyons savoir qu’une opposition qui est en permanence positive, cela s’appelle une MAJORITE (quoique à Nandrin, ces derniers temps, l’opposition se trouvait dans la majorité !).
Mais, on peut comprendre que les Nandrinois ne comprennent plus grand-chose à la vision politique et aux objectifs poursuivis par les élus de cette majorité « recomposée ».
Car, comment expliquer à nos concitoyens qu’à trois semaines d’intervalle à peine, ils viennent de prendre, sur un même type de dossier, deux décisions diamétralement opposées ?
* 22 novembre 2016 : vote de la DEMOLITION, sur la place O. Musin de Nandrin, du bâtiment principal (et historique) de l’administration communale, datant de 1954 et reconstruction d’une nouvelle infrastructure, pour un montant global initial de 1.879.000 euros avec un subside de 306.000 euros (16,30 %).
Motif invoqué: bâtiment inadapté pour une administration moderne, insalubre et énergivore ???
* 19 décembre 2016 : vote de la RENOVATION, sur la place Baudouin 1er de Villers-le-Temple, de l’ancien presbytère, datant du 19ème siècle et REHABILITATION en maison de village avec salles de réunion et de conférence, académie de musique et garderie pour l’école communale, pour un montant global de 875.000 euros avec un subside de 700.000 euros (80,00 %).
Motif supposé : bâtiment adapté pour ce type d’activités, salubre et non énergivore ???
Pour la petite histoire, on ne pourra même pas dire qu’il y a incohérence dans le chef des concepteurs des projets puisque ces dossiers ont été confiés au MEME bureau d’architecture.
De là à penser que, ce qui est « inacceptable » pour une quinzaine de fonctionnaires communaux, à savoir travailler dans des locaux RENOVES, ne l’est pas pour l’ensemble de nos concitoyens et pour les plus petits en garderie, est une réflexion qui semble « sauter aux yeux » !
Ou alors faut-il considérer que le patrimoine communal n’est pas pris en compte de la même manière sur l’ensemble du territoire communal ?
En effet, il n’aura échappé à personne l’état de dégradation de l’église de Nandrin, propriété communale et surtout l’état désastreux de la tour, tour de type domanial, une des plus anciennes du Condroz puisqu’elle pourrait bien remonter au Haut Moyen-Age.
Le chantier de rénovation (en espérant qu’on ne la démolisse pas !) coûterait fort cher (1 million d’euros ?) et il y a, certes, d’autres priorités comme des travaux d’importance à consacrer aux écoles communales.
Mais, qu’attend-on depuis des années pour envisager une mesure de classement de cette tour qui, à terme, pourrait bénéficier, elle aussi, d’un subside conséquent, même dans quinze ou vingt ans compte tenu de la lenteur de ce type de dossiers administratifs.
Quand on vous disait qu’il existait deux poids, deux mesures à Nandrin … depuis 2012 !
Ainsi, si l“union Pour Nandrin” est périodiquement accusée de tous maux, par la majorité “Expressions Commune(s)”, même quand au dernier conseil communal, elle s’est réjouie et a “félicité” la majorité d’avoir eu la volonté de recréer une maison de village (cf. point ci-dessus) et dès l’entame du dernier conseil, s’est aussi réjouie du souci de maintenir une antenne de police à Nandrin (dès 2018-2019, dans les locaux désaffectés de la poste), il n’y a pas qu’uPN qui fait de l’opposition.
En effet, pour la 18ème fois, un point complémentaire proposé par uPN a été REFUSE, donc de manière SYSTEMATIQUE, par 9 NON de la majorité “Expressions Commune(s) et dans une moindre mesure par TE.
Si on examine les résultats des votes depuis janvier 2013, la majorité a voté plus souvent NEGATIVEMENT aux propositions du groupe “union Pour Nandrin” que l’inverse: édifiant, non et qui est la paille et qui est la poutre ?
Donc, ce 19 décembre, comme la presse s’en est fait l’écho, uPN proposait de faire UN PEU PROFITER le citoyen nandrinois de la bonne santé financière de la commune (avec, néanmoins une dette à 3.350.000 euros, à savoir à 50% du budget global !), dans la mesure où le budget était à nouveau présenté à l’équilibre et que le compte 2016 sera POSITIF, au printemps prochain d’au moins (comme chaque année, vu que les dépenses sont toujours “gonflées”), de plusieurs centaines de milliers d’euros.
Que proposait UPN ?
1) pour 2017, une réduction de la taxe additionnelle au précompte immobilier (faire passer les centimes de 2.650 à 2600), à savoir un gain global pour les 5.850 citoyens de…26.000 euros et donc, une perte dans le budget communal établi à 6.768.900 euros, de…26.000 euros (- 0,0038 %);
2) Pour 2018, en plus du PI, une réduction de la taxe additionnelle à l’IPP (faire passer les 8,50 % à 8,00), à savoir un gain global pour les 5.850 citoyens de… 169.000 euros, et donc, une perte dans le budget communal établi à 6.768.900 euros , de 169.000 + 26.000 = 195.000 euros (-0,0280 %).
“C’est (donc) jouer à l’apprenti sorcier”, dixit le bourgmestre-grand argentier que de grever le budget communal … de 0,0038 % de ses recettes pour 2017 et de 0,028 % pour 2018 au point que le conseiller Ecolo de la majorité se demande toujours où aller trouver, dans un budget de 6.768.900 euros, … 26.000 euros ?
Ô catastrophe, ô désespoir : RISIBLE, Monsieur le Conseiller !
Et quand on sait que faire gagner 133 euros par an pour une famille de 4 personnes a été qualifié de “cacahuètes” par le bourgmestre, on se dit que pour certains élus qui cumulent salaire et mandats publics, l’argent n’a pas la même valeur que pour les autres citoyens !
Quand on vous disait, chers Concitoyens (chers car Nandrin est “une commune de gens qui sont RICHES” dixit M. Lemmens puisque “si la commune va si bien, c’est grâce à ses habitants, les taxes correspondant à 70 % des recettes”, dixit l’Avenir), que plus nous sommes taxés et mieux les finances communales se portent (dès 2013, la majorité en avait fait son credo puisque cette disposition – maintien de la taxation aux niveaux initiaux déjà fort élevés – fut votée en UNE FOIS, pour la période 2013-2019, c’est à dire pour TOUTE la législature, comme si rien ne changerait entre temps) !
Tiens, la RAGE TAXATOIRE, cela ne vous rappelle-t-il pas une certaine philosophie politique ?
Manifestement, ce qui est possible, dans le budget communal à Hannut où l’IPP a été ramené de 8,80 % à 8,50 % et à Burdinne où le conseil communal a accordé forfaitairement 50 euros à tout jeune, pour un montant global de 125.000 euros, ne l’est pas à Nandrin où, pourtant, on se prévaut de “cultiver aussi un art de vivre”.
Quand on vous disait qu’il existait deux poids, deux mesures à Nandrin, … depuis 2012 !
uPNa
Clic sur l’image pour agrandir
Jeannick Piron, conseillère communale Pour Nandrin, démissionne.
Sa famille est victime, selon elle, de harcèlement.
Jeannick Piron, conseillère communale de l’opposition Pour Nandrin, a annoncé son intention de démissionner de son mandat.
Elle quitte même la commune.
La raison invoquée par le groupe Pour Nandrin: elle démissionne
«pour cause de malveillance grave et de ce qui a été qualifié de menaces et de harcèlement par la police».
Pas de commentaire de Jeannick Piron pour le moment.
Simplement parce qu’émotionnellement, la situation n’est pas simple à gérer pour elle, glisse-t-elle.
Voir l’article complet en ligne sur le site de Vers l’avenir
http://www.lavenir.net/cnt/dmf20160118_00765954/la-conseillere-jeannick-piron-demissionne
Article de Vers l’avenir démission de Jeannick Piron le 19 janvier 2016.pdf
Nous en évoquions la probabilité en octobre lorsque Jeannick Piron annonçait son retrait en tant que chef de groupe Pour Nandrin au Conseil.
C’est désormais officiel, la conseillère communale démissionne, conséquence de son déménagement.
La Nandrinoise de 51 ans se dit victime de menaces et de harcèlement de la part d’un citoyen nandrinois (hors sphère politique).
« Les problèmes ont commencé fin février, à la suite du point mis à l’ordre du jour du conseil communal par notre groupe qui réclamait un règlement sur la prostitution à Nandrin.
Tant que les attaques restaient dans le cadre de mon mandat politique, cela m’était égal, mais cela a été trop loin, en touchant à ma vie privée.
J’ai porté plainte neuf fois », déclare Jeannick Piron qui préfère quitter Nandrin pour une commune de l’arrondissement dont elle ne souhaite pas dévoiler le nom.
« J’ai mis ma maison en vente à contrecœur car j’ai beaucoup d’affection pour ma terre natale.
Cela m’en coûte mais je veux protéger ma famille ».
La conseillère communale remettra sa lettre de démission mercredi.
Elle tire un bilan amer de son expérience politique.
« Je ne regrette pas d’avoir été élue car c’est une expérience à vivre mais je ne ferai plus de politique.
Dans l’opposition, on n’est pas écouté, on a quasiment le droit de rien dire parce qu’on n’a pas gagné les élections, en tout cas à Nandrin.
Or, j’ai tenté de mener une politique constructive », regrette Jeannick Piron qui créait sa liste blanche en 2012 avant d’être rejointe par Marc Evrard.
Ce dernier est attristé par ce départ.
«À nous trois, nous formions une belle petite équipe qui a beaucoup travaillé.
Jeannick Piron était notre figure emblématique.
Même si elle est jeune en politique, elle a fourni du bon boulot et a toujours été très disponible et présente au Conseil.
Par ailleurs, elle représente une certaine catégorie sociologique qui n’a pas souvent la parole, celle des plus démunis.
J’appréciais son côté humain, social et pragmatique », commente Marc Evrard, chef de file.
Du côté du mayeur, Michel Lemmens, on prend acte :
« Qui sème le vent récolte la tempête… »
Article de ANNICK GOVAERS pour Sudpresse
Dans la Meuse H-W démission de Jeannick Piron 19 janvier 2016 clic ici.pdf
Article de la DH démission de Jeannick Piron le 19 janvier 2016 clic ici.pdf
Le P.P. ou le p.p. à Nandrin ?
Le Petit Prince ou le pouvoir du prince à Nandrin ?
Malheureusement, ce p.p. s’écrit avec un petit p car le grand P, comme dans Prince Carnaval, n’est plus d’actualité à Nandrin !
Car, chères Nandrinoises et chers Nandrinois,
il y a longtemps à Nandrin qu’on ne fait plus la fête (parfois lors des jumelages) et qu’on ne peut plus contrarier le « grand timonier » (par ailleurs, absent lors des dernières fêtes du jumelage des jumeaux de Saint-Séverin).
Comme l’aurait chanté Clo-Clo dans ses premiers tubes, sous la législature actuelle, c’est « marche tout droit » et c’est comme je le dis.
Ce n’est plus Jacadi mais c’est Micheladi !
J’entends déjà les fans me dire : vous exagérez PNa et votre anti-lemmenisme vous reprend.
Pas du tout et je vous fais juge de ce qui s’est à nouveau passé lors du conseil communal de ce mardi 19 mai, avant même que le conseil ne commence.
Le groupe « Pour Nandrin » avait proposé un point complémentaire à l’ordre du jour du conseil en vue de faire adopter, par celui-ci, la décision de principe de réaliser un Programme communal de Développement Rural.
Si on sait que plus de 100 communes l’ont déjà mis en œuvre et que la majorité politique se revendique aussi de la défense et de la promotion de la ruralité, « Pour Nandrin » devait légitimement s’attendre à recevoir d’ « Expression Commun(e)s, au moins une écoute attentive et un soutien réel.
Mais, c’était sans compter sans le « pouvoir du prince », le pouvoir d’autorité du président du conseil communal, du bourgmestre, du maître de cérémonie et des débats, de celui qui « était SEUL à décider » (cf. L’Avenir du 21/05/2015).
D’où un refus appuyé et catégorique de ne pas autoriser l’utilisation du rétroprojecteur communal pour développer ledit point complémentaire, comme il est de coutume de le pratiquer, aujourd’hui, pour illustrer un exposé.
Au passage, chacun aura relevé que ledit M. Lemmens ne se gêne jamais pour en user et en abuser pour « accabler » le conseil de ses nombreux développements chiffrés relatifs au budget, aux comptes, voire à la dette qui, malheureusement, n’a pas toujours pas diminué malgré qu’elle « soit bien gérée » (cf. ledit quotidien).
Cette fois-ci donc, pas de rétroprojecteur ni pour « Pour Nandrin ni pour le maïeur ce qui, évidemment devait priver ce dernier, de ses effets de manche habituels et de la traditionnelle théatralité dont il aime s’entourer.
D’où, l’AMBIANCE des mauvais jours.
On soupçonne également dans ce retour en force de la mauvaise humeur et de l’agressivité verbale, le fait que, dans le public très clairsemé encore, ne figurait plus celui que d’aucuns ont cru reconnaître, lors de la séance du 21 avril dernier, comme étant un observateur envoyé par ??? pour apprécier la qualité des échanges et le bon déroulement des débats.
Etait-ce encore la « prose » d’un des conseillers de l’opposition dont il venait de prendre connaissance avec déplaisir ou tout simplement un naturel qui reprenait tout simplement le dessus, toujours est-il que M. Lemmens a refusé l’utilisation dudit appareil « POUR NE PAS DONNER UNE TRIBUNE A LEUR PROPAGANDE ».
Ainsi donc, quand l’opposition dépose un point complémentaire relatif à l’adoption d’un Programme Communal de Développement Rural, fait-elle de la propagande (sûrement électorale ?) ?
Curieuse conception de la démocratie et ce d’autant plus que ledit point complémentaire figure dans le programme de « Pour Nandrin » et que TOUS les groupes politiques souhaitent aussi garder une réelle ruralité pour Nandrin.
Décidemment, M. Lemmens est bien dans la continuité de sa déclaration du lendemain des élections d’octobre 2012, lui qui avait dit que plus de « 800 Nandrinois avaient voté pour un parti populiste ».
Et oui, chers Concitoyennes et Concitoyens, vouloir préserver la ruralité et voter pour le groupe politique qui en a fait une de ses préoccupations majeures, c’est faire du « populisme ».
Et, bien, Monsieur le Bourgmestre et ne vous en déplaise une fois encore, « Pour Nandrin » revendique alors ce type de « populisme » – là qui, contrairement à votre Schéma de développement territorial que vous avez fait adopter aux forceps, après deux tentatives avortées et contre lequel notre conseiller vient d’introduire un recours qui a été jugé RECEVABLE, LUI, respecte un cadre de vie ancestral et s’inscrit dans le respect de la diversité, en ce compris celle de la différence.
Ainsi, à Nandrin, « ne pas donner une tribune à leur propagande » s’applique donc désormais à tout groupe politique qui veut exposer son programme : nous en prenons bonne note.
Nous espérons donc qu’en toute impartialité et parce qu’il est le bourgmestre de tous, M. Lemmens n’offrira pas à son propre groupe politique, « Expression(s) Communes », lors du conseil communal du lundi 8 juin, comme il l’a annoncé et comme le relaie la presse de ce 21 mai (« Le programme politique de Nandrin -plus exactement, de la majorité- sera développé en juin. Le fonds de réserve servira à financer ses projets »), « une tribune à leur propagande ».
Ainsi, « selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir » (dans Les animaux malades de la peste du fabuliste Jean de la Fontaine) : l’Histoire est bien un éternel recommencement !
« On ne voit bien qu’avec le cœur. L’essentiel est invisible pour les yeux ».
« Tu deviens responsable pour toujours de ce que tu as apprivoisé ».
« C’est le temps que tu as perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante ».
« Droit devant soi on ne peut aller bien loin ».
En conclusion, « s’il vous plaît, dessine-moi un mouton », demande le Petit Prince à l’aviateur !
Ah, ce Petit prince sans pouvoir et pourtant, si grand.
PNa
On aurait pu choisir comme titre, « Tu veux ou tu veux pas », « Mieux vaut tard que jamais » ou « Vols au-dessus du nid des Nandrinois » mais PNa a décidé, pour le numéro 13, de La PRESS’ion citoyenne (6), de PRESS’en BREF (5) et Commen-taire (1) de faire une expression citoyenne commune, en invitant tous ses internautes (vous êtes de plus en plus nombreux à nous lire et à nous partager sur vos facebook, même dans les rangs et sur les bancs de la majorité) à répondre présents, en masse, à la séance d’information communale du 16 mars 2015, à 20 heures, à la salle de Saint-Séverin.
Mais une telle annonce ne nous serait pas propre si elle n’avait pas ce (petit) côté « titilleur » et persifleur que certains aimeraient nous voir abandonner tant ils le redoutent parce que trop proche d’une vérité difficile à découvrir et dont d’autres s’en amusent tant ils leur procurent quelque satisfaction de voir leurs interrogations et leurs préoccupations abordées.
La liberté d’expression étant un des atouts essentiels de notre démocratie, nous nous efforçons d’en user avec utilité pour décrire le « verso d’un recto », recto qui se décline quasi exclusivement en une seule couleur et qu’on retrouve, en caractère unique, dans le trimestriel communal « Carrefour », dans lequel seule la Majorité et les institutions communales ont « voix au chapitre » et donc, à la retranscription.
Puisque l’Opposition que ce soit « Pour Nandrin » ou « Tous Ensemble », avec 8 élus sur 17, semble ne pas avoir d’existence « légale » ou à tout le moins, communale, chacun comprendra que l’« eau » (un peu à l’instar de celle, excellente, de l’IDEN) s’est frayée un chemin », celui de l’expression citoyenne.
A son sujet, certains même se complaisent, peut-être par volonté de dénigrement, de parler de « caricatures » (dans l’air du temps !), de « pressions démagogiques » (facile comme formule !), voire de « populisme » (dixit le « pas encore bourgmestre » M. Lemmens, dans le journal L’Avenir du lundi 15 octobre 2012, au lendemain même des élections communales de 2012).
Chers Nandrinois, manifestement, nos propos égratignent, nos écrits dérangent et nos propositions secouent : l’opposition « harcèle » (ce substantif est, aussi, dans l’air du temps).
Et bien oui, il faudra que chacun s’y fasse s’il lui prend l’envie de nous prêter quelque attention. A défaut, il peut toujours renoncer à nous lire et consulter, alors, la presse communale qui n’est, malheureusement, elle que trimestrielle.
Mais, dans la mesure où une prise en compte a été réalisée sur un thème qui nous interpelle et nous TRACASSE tous, thème que nous avions déjà abordé dans la PRESS’ion citoyenne 2015-n°02, la sécurité des biens et des personnes à Nandrin, répondre favorablement à l’invitation de participer à la séance d’information communale PREVENTION « VOLS HABITATIONS » nous semble judicieux.
Certes, il est vrai qu’il aura fallu au moins 3 ou 4 interpellations, au conseil communal, du groupe « Pour Nandrin » pour que cette information communale aboutisse enfin, comme quoi, ce type de « harcèlement » peut parfois donner des résultats positifs.
Certes, il est vrai que la commune de Nandrin aura tardé puisqu’elle arrive en 6 ème position, après ses consoeurs de Hamoir, Clavier, Modave, Tinlot et Marchin, pour mettre ses citoyens en possession de tous les éléments utiles afin de tenter de se prémunir face à ce type de délits que sont les vols dans les lieux d’habitation.
Certes, il est vrai que cette information s’inscrit dans le Plan zonal de sécurité qui invite les communes à organiser ce type d’information.
Certes enfin, il est vrai qu’informer la population nécessite une volonté et une organisation et que la commune a quelques charges prioritaires à assumer (et celle-ci ne l’est pas moins !).
C’est pourquoi, ne boudons pas notre plaisir d’être tous associés à ce moment partagé de vie communale.
DONC, venez TRES NOMBREUX à cette soirée, plus encore que pour un soir de conseil communal à enjeu environnemental, par exemple.
« Pour Nandrin » y sera et remercie, dès à présent, en son nom et au nom de ses électeurs, les autorités communales qui ont, ainsi, accédé à une demande de la population nandrinoise.
PNa
Information Communale prévention Vols Habitations clic ici.PDF