Article du journal La Meuse du 24 août 2018
Politique
Alors que notre bourgmestre « se félicite de la façon dont le séjour des gitans a été géré » (La Meuse H-W. du 13/08/2018), il nous semble nécessaire de mettre en évidence que l’attitude laxiste et complaisante du collège vis-à-vis des actes posés par les gens du voyage a failli coûter la vie à un de nos concitoyens.
En effet, le coffret de commande de l’éclairage des terrains de foot a été vandalisé par certaines de ces personnes afin qu’elles puissent y prendre de l’électricité sans autorisation. Ces faits ont d’emblée été dénoncés sur les réseaux sociaux et dans la presse par les riverains (Vers L’avenir H-W. du 14/08/2018).
En commettant leur forfait, les gitans ont occasionné des dégâts mettant ainsi hors d’usage le système d’allumage à distance des projecteurs destinés à permettre l’atterrissage de l’hélicoptère du Centre Médical Héliporté de Bra-sur-lienne, la nuit.
Et ce qui était prévisible arriva. Le lendemain de leur départ, l’hélicoptère est dirigé sur le site du Péry. Impossible pour lui d’atterrir sans le balisage lumineux. Il a donc été question de le rediriger sur Anthisnes. Afin d’éviter le drame, les pompiers de Huy ont été appelés en renfort pour guider le pilote au moyen de leurs lampes.
Face à de telles situations, le manque de prévoyance et la passivité du bourgmestre et de son équipe relève selon nous d’une attitude profondément irresponsable. Faudra-t-il attendre la survenance d’un drame pour que ces personnes se remettent en cause et pensent à présenter leur démission ?
Chères Concitoyennes, chers Concitoyens,
Notre mouvement politique communal « Pour Nandrin » a clôturé sa liste pour les élections communales du dimanche 14 octobre 2018, laquelle portera le nom de « Pour Nandrin citoyenne ».
Dix-sept candidats, à savoir 9 hommes et 8 femmes issus de nos villages, 17 citoyens et citoyennes qui veulent redonner un nouveau souffle et une nouvelle image, meilleure et positive à Nandrin.
Ils ont décidé d’apporter, à notre commune, le changement nécessaire et la transformation utile, après cette législature du n’importe quoi, du laisser-aller et du laisser-faire.
« Faire gagner Nandrin », c’est d’abord réaffirmer l’autorité politique communale et les devoirs qu’elle doit à ses concitoyens, la récente intrusion et installation des gens du voyage sur le site du Péry et les atermoiements du bourgmestre de Nandrin et de son collège ayant démontré, de manière inquiétante, cette perte du sens des responsabilités et des capacités à gérer une situation illégale, voire conflictuelle.
« Faire gagner Nandrin », c’est encore consacrer les moyens financiers à l’essentiel et non au superflu qui relève d’une programmation réfléchie et non d’un « caprice de dieu » ( cf. la nouvelle cité administrative Commune-CPAS ).
« Faire gagner Nandrin », c’est aussi et surtout, associer le citoyen au processus décisionnel politique en consultant et en informant celles et ceux à qui le changement va être imposé.
En proposant comme thème de campagne, « l’alternative citoyenne », le message envoyé par « Pour Nandrin, citoyenne » est on ne peut plus clair : donner à chaque Nandrinoise et à chaque Nandrinois la possibilité qu’il peut être l’acteur de ce changement et de cette modernité.
Le nom des dix-sept femmes et hommes ainsi que leur numéro de présentation sur la liste « Pour Nandrin, citoyenne », sur le bulletin de vote dénommée « Pour Nandrin », sera communiqué, ce samedi, dans la presse et le premier dépliant de septembre contiendra une notice descriptive de présentation de chacun.
Conseiller communal depuis quelques législatures, les seize candidates et candidats m’ont fait l’honneur et le plaisir de conduire la liste « Pour Nandrin, citoyenne », avec la volonté de faire en sorte qu’un maximum de ces citoyens issus de la société civile puissent, au lendemain du 14 octobre 2018, participer et contribuer au renouveau et au changement à Nandrin.
Assumer donc, demain, une responsabilité dirigeante au sein de notre commune s’inscrit donc dans la volonté de notre mouvement de servir toujours mieux nos concitoyens, des plus jeunes aux plus âgés.
Déjà, avec les autres seize colistiers de « Pour Nandrin, citoyenne », je formule le souhait que vous nous accordiez, le 14 octobre 2018, votre confiance « pour faire gagner Nandrin » et ainsi réussir « l’alternative citoyenne ».
D’avance, MERCI.
Marc EVRARD, tête de liste de « Pour Nandrin »
Les projets éoliens sur Nandrin ont le vent en poupe et ce n’est certainement pas par hasard.
Après les communes de Tinlot, Modave, Clavier et Ouffet, la commune de Nandrin se voit concernée par une nouvelle demande de permis relatif à l’implantation de 5 éoliennes situées à proximité de la RN63.
Le parc éolien sera situé entre Ehein et Saint-Séverin à 830 mètres des habitations du fond de El Rowe et à 1400 mètres de la place dudit village, à 890 mètres du Parc de la Gotte et à 1010 mètres du Bois de la Croix claire. Bon nombre des habitations situées dans ces zones seront fortement impactées dès que les vents seront défavorables. En effet, l’auteur de projet estime que le niveau des nuisances sonores dans certaines de ces zones pourrait osciller entre 35 et 40 décibels.
Il est à noter que ces niveaux sont généralement sous-évalués par les promoteurs qui se réfèrent aux données techniques fournies par les constructeurs. Le prix d’une éolienne étant notamment lié à sa qualité, plus un parc éolien sera respectueux de son environnement, moins il sera rentable à ses actionnaires.
Afin de garantir aux Nandrinois la préservation de la qualité de leur cadre de vie par le respect des normes actuelles, nous avons inscrit un point à l’ordre du jour du conseil communal du 20 février 2013 proposant l’élaboration d’un cadre éolien communal. Il s’agissait de mettre en place un dispositif préventif qui puisse devenir répressif le cas échéant, à l’image de ce qui se fait aux alentours de certains aéroports. Le groupe PS-cdH-écolo « Expression commune(s) » s’y est opposé, soutenu en cela par l’abstention des membres du groupe « Tous Ensemble ». Dans la foulée, ces groupes ont voté en 2017 favorablement au programme « Pollec 2 » proposant l’implantation de 12 éoliennes d’ici 2030 sur le territoire de Nandrin-Tinlot-Modave et de plus du double d’ici 2060.
Le dossier éolien est un dossier qui divise. Certains y voient une alternative aux énergies fossiles et nucléaire. Des programmes ou des conventions, telles que « Pollec 2 » fixent des objectifs en termes de production d’énergie renouvelable sur des portions de territoires déterminées. Les scénarios envisagés attribuent près de 90 % de cette production au secteur éolien. Acquiescer de tels programmes ou de telles conventions revient à émettre un accord de principe favorable quant au développement de projets éoliens sur les territoires concernés. Nous nous y sommes opposés pour plusieurs raisons :
- Les normes actuelles en matière de rejets sonores produits par les éoliennes étant assez permissives, leur stricte application doit être assurée pour garantir aux citoyens une qualité de vie satisfaisante. Actuellement ce n’est pas le cas.
- Nos tentatives de mise en place d’un système garantissant à la population nandrinoise une telle qualité de vie ont été avortées par la majorité.
- Les communes rurales ne sont pas destinées à devenir les poubelles environnementales des grandes agglomérations. La transition énergétique doit se faire dans le respect de tous et l’augmentation de la qualité de vie dans les espaces urbains ne doit pas se faire au détriment de celle des habitants résidant en milieu rural.
En tout état de cause et dans le prolongement des actes que nous avons posés lors de cette législature, apporter une solution qui soit respectueuse des attentes et des préoccupations de l’ensemble des Nandrinois par rapport à la question éolienne restera une de nos priorités lors de la prochaine législature.
« Faire gagner Nandrin » :
encore possible après le 14 octobre 2018 ?
Quid de l’enquête populaire ?
Chères Concitoyennes, Chers Concitoyens,
Les premiers résultats de la consultation populaire à laquelle nous avions convié nos concitoyens à répondre, le montrent clairement : les Nandrinoises et Nandrinois veulent le changement parce qu’ils ne sont pas contents de la gestion de leur commune qui a été menée durant ces 6 dernières années.
Lorsque ce très large tour d’horizon relatif aux attentes et surtout aux souhaits sera clôturé ( date limite de rentrée dudit document souhaitée pour le samedi 7 juillet 2018, au plus tard ! ), nos concitoyens auront déjà permis de dégager une certitude, celle que le citoyen a autant le droit d’être entendu que celui de s’exprimer à propos de TOUT ce qui touche à la gestion de son cadre de vie quotidien.
Et quid, de 2012 à 2018 ?
Dans la commune dont le slogan se veut être « la commune où il fait bon vivre », il y a belle lurette que les responsables politiques ont perdu le sens du contact humain et de la proximité mais surtout de la dimension de la convivialité et à défaut de civisme, du sens de la civilité, préférant la querelle à la confrontation des idées et des projets.
Notre mouvement Pour Nandrin, citoyenne a œuvré, pendant ces six dernières années, de manière à tirer sa légitimé de l’action citoyenne, celle qui a été et est toujours chevillée au cœur même des préoccupations de nos concitoyens.
Pour ce faire, les élus du groupe ont dû faire preuve d’indépendance d’esprit comme de fidélité aux attentes de leurs électeurs.
Cette liberté de parole comme la rigueur avec laquelle ils se sont engagés à défendre des dossiers sensibles et dénués de toute préoccupation électoraliste les ont conduits à voter et à agir SANS complaisance NI compromission.
Ce fut un travail collectif, de tous les instants et souvent complexe qui a permis à Pour Nandrin, citoyenne d’être sur « toutes les balles » (cf. les comptes-rendus dans les divers articles de la presse régionale), comme tout bon diable rouge qui se veut digne de sa « petite » Belgique.
PNc a tenu à remplir le rôle que l’électeur lui a donc confié, celui de conduire une opposition ferme, déterminée et objective dans la mesure où la majorité, « forte » de ses 50,29 % des voix lui avait refusé l’accès à un partage de la gestion communale.
Et demain, quel projet ?
Pour Nandrin, citoyenne va poursuivre le travail entrepris, avec cette expérience de six années de projets et de propositions, un enthousiasme renouvelé, des convictions assurées et une équipe de femmes et d’hommes à la fois nouvelle et confirmée.
a sincérité de notre engagement ne peut être mise en cause dans la mesure où, comme nous l’avons décrit dans notre précédent « toute-boîtes » d’avril dernier, celui-ci fut total tout au long de ces six années.
Se présenter (ou se représenter) devant l’électeur ne signifie donc pas qu’en dernière minute ou quelques mois avant l’élection, on gratifie ou on enfume le citoyen avec quelques formules habiles et démagogiques où les grands principes de gestion riment avec les grandes annonces aussi irréalistes qu’apolitiques.
L’heure est au réalisme et à l’action autant qu’au sérieux et à une volonté de compétence qui sera, chez nos candidates et candidats, le reflet de leur vie personnelle et/ou professionnelle.
L’Alternative citoyenne
Notre projet de gestion sera d’abord celui que nous aurons construit ensemble, tous ensemble, à la suite de cette consultation populaire car, pour nous, le concept de la CITOYENNETÉ va de pair avec celui de la PARTICIPATION.
Mais, redisons-le une nouvelle fois, il ne s’agit pas de cette participation de dernière minute, celle où l’on vient avec des formules toutes prêtes à l’emploi mais bien celle qui associe la population aux processus décisionnels.
Pour aboutir à cet objectif et réussir ce que nous définissons comme « l’Alternative citoyenne », il faut instaurer des mécanismes qui garantissent une véritable prise en compte des orientations ou des choix exprimés.
A titre d’exemples, si nos concitoyens sont partants, dès aujourd’hui, pour la création ou l’aménagement de services et d’équipements à l’usage de la population, des espaces publics TRÈS DEMANDÉS car inexistants ou supprimés, comme des aires de jeux et de détente pour les tout-petits, leurs parents et grands-parents), des voiries comme sentiers et chemins, des moyens de transports et de communication ou encore tout ce qui concerne la protection, l’amélioration et la mise en valeur du cadre de vie, en ce compris le patrimoine bâti et naturel, il faut qu’ils puissent être les INITIATEURS des projets qui les concernent et leur tiennent à cœur.
Avec quelle efficacité ?
Pour être efficace et cohérent, ce processus de participation doit s’inscrire dans un « Programme communal de Développement Rural (PCDR) » qui fixe les objectifs à atteindre ainsi que les actions à entreprendre pour la prochaine décennie.
Plus de 120 communes wallonnes se sont déjà inscrites dans une telle démarche qui est soutenue et encadrée par la Région wallonne et les projets retenus peuvent bénéficier jusqu’à 80 % de subsides, voire 90 % pour les projets transcommunaux.
En route pour 2024 et 2030
Notre première implication dans la gestion communale lors de ces six dernières années passées au conseil communal a permis à notre groupe de se structurer, d’affiner son programme initial et d’acquérir des connaissances et aussi des compétences nécessaires à la gestion de la commune, indépendamment d’une bonne dose de travail et de philosophie par rapport aux « coups » encaissés.
Nous avons conservé l’enthousiasme et l’optimisme qui conviennent à une pratique ÉTHIQUE de la chose publique, TOTALEMENT éloignée des pratiques condamnables à la « Publifin et consorts ».
Modestement mais sans renier le travail accompli dont nous vous rendons compte aujourd’hui, nous pensons avoir rempli le contrat moral et citoyen passé avec les électeurs nandrinois lors de l’élection communale de 2012.
Demain, au terme de l’enquête populaire où nous proposerons une véritable alternative citoyenne (« Alternative 18-24 »), seuls les citoyens en leur qualité d’électeurs décideront, le 14 octobre prochain, de l’avenir qu’ils souhaitent pour Nandrin et pour leur environnement.
Aussi, nous vous demandons, dès à présent et une nouvelle fois, votre confiance pour poursuivre la tâche entamée.
Merci d’avance.
La PRESS’ion citoyenne n° 22 – ’18 La tactique du trio Pollain-Tilmant-Ramelot … : Viv(r)e Nandrin !
“AUX LARMES, CITOYENS”, voici ce que nous inspire les belles promesses des échevins et ex- échevin Pollain, Tilmant et Ramelot, à propos de leur nouvel engagement pour Nandrin.
Car les bien connus dissidents que sont « l’écologiste » Charlote Tilmant (qui a quitté Ecolo-Nandrin pour passer au PS, il y a trois ans déjà, sans rendre son mandat d’échevine à son groupe d’origine), le réformateur Benoît Ramelot (qui a lâché, il y a trois mois, le groupe « Tous Ensemble » qu’il avait fondé et dont il était le chef de file) et le socialiste Daniel Pollain, premier échevin (qui a trahi son bourgmestre Michel Lemmens et son collège), viennent de dévoiler leur stratégie pour les prochaines communales.
Si on lit bien la déclaration de celui qui n’est pas encore le chef de file de ce triumvirat de transfuges, Daniel Pollain, la liste ne se veut « ni apolitique, citoyenne ou blanche: elle est faite de plusieurs couleurs, chacun avec ses convictions propres …”
De fait, cette nouvelle liste nous rappelle étrangement la précédente, la défunte liste de la majorité “Expressions Commune(s)”, réunion en 2012 des trois partis PS, Ecolo et cdH qui possédaient tellement bien, eux aussi, leurs “convictions propres” qu’aujourd’hui, le PS nandrinois est coupé en deux, les derniers Ecolo ne savent pas s’ils iront aux élections et le cdH est éclaté.
La belle unité de ce mouvement “rassembleur” de majorité “Expressions Commune(s) qui n’a, par ailleurs, duré que quelques mois, comme s’est plu à le rappeler, récemment, le groupe Ecolo, aura, ainsi, implosé à cause de ses propres divisions.
Quant à savoir dans celles et ceux qui composent ce “Viv(r)e Nandrin”, qui est encore qui, tant les actes de félonie (trahison) ont été nombreux, peu de Nandrinois pourraient encore le dire ?
Chères Concitoyennes, chers Concitoyens,
Ainsi, cette troïka d’opportunistes compte se refaire une santé pour les prochaines élections communales et propose de réaliser pour 2018-2024, ce qu’ils n’ont pas été capables d’accomplir de 2012 à 2018 quand deux d’entre eux sur trois étaient au pouvoir.
Pour ce faire, elle mise, sur une (très) jeune candidate neupréenne, aujourd’hui heureusement nandrinoise et bientôt majeure.
Même si, comme l’écrit erronément le journal “La Meuse”, notre chef de file Marc Evrard n’a pas “courtisé” la demoiselle, sa qualité de quatre fois grand-père et d’ancien préfet des études d’école secondaire honorable l’ayant mis à l’abri de toute velléité de séducteur, il constate avec satisfaction, à l’instar de “Pour Nandrin, citoyenne” que des jeunes aspirent (encore) à vouloir s’occuper de la “chose publique”.
Par ces temps troublés, où beaucoup s’écartent trop volontiers de la défense de l’intérêt public au profit de leurs intérêts privés, surtout dans le chef de ceux qui composent majoritairement le parti dominant de Wallonie auquel se revendiquent, d’ailleurs, D. Pollain et Ch. Tilmant, il convient de saluer l’arrivée d’une nouvelle pousse en politique.
Il serait, par contre, “criminel” de laisser croire à cette jeune aspirante que tout est rose en ce bas monde politique et surtout “qu’on y retrouve de la convivialité et une vision optimiste de la politique. Je me retrouve dans ce projet rassembleur”, déclare Amandine Tack dans “La Meuse” de ce 2 mars 2018.
Car, jusqu’à présent, “Viv(r)e Nandrin” et ses membres fondateurs illustrent davantage le rassemblement de dissidents, critiques et négatifs et apparaît à beaucoup et surtout aux initiés (n’est-ce pas M. Lemmens, A. de Potter, H. Dehareng, M. Brandt et E. Cop ?) comme la somme des trahisons qui peuvent se commettre et se dérouler durant une législature communale.
Aussi, s’il faut souhaiter la bienvenue, dans la jungle politique, à cette nouvelle candidate, il faut aussi espérer que les innombrables “moi, je” (“je fais” x4, “je suis” x2, “j’écris” x1, “je connais” x1) avec lesquels elle s’est décrite dans sa courte interview, ne la priveront pas de l’humilité nécessaire pour se consacrer aux véritables préoccupations des Nandrinois dont “Pour Nandrin citoyenne” s’est voulu, prioritairement, à l’écoute depuis plus de cinq ans.
S’il en est bien un, aujourd’hui qui doit se réjouir d’être débarrassé de ce trio, on ne peut plus politiquement interchangeable et indéfinissable, c’est bien le bourgmestre Michel Lemmens qui travaille, en ce moment, à parachever l’ “oeuvre”de sa législature, sa nouvelle administration au coût de près de 2 millions d’euros !
“AUX LARMES, CITOYENS” et BASTA maintenant !
Disons STOP, dès le 14 octobre 2018, à ces gestionnaires, à leurs nouvelles belles promesses électorales et SURTOUT, stop à ces apprentis-sorciers qui veulent remettre le couvert pour repasser les mêmes plats, froids.
Car pour que “Viv(r)e Nandrin”, voeu autant “pieux” qu’anachronique, il faudrait afficher un autre bilan que celui de ces mandataires-là, bilan construit à coups de QUERELLES, de RENIEMENTS et de PROMESSES NON TENUES mais aussi de SUPPRESSIONS et de DEPENSES FASTUEUSES et peu respectueuses de l’intérêt communal général !
Plus que la dose d’optimisme dont tout primo-candidat peut s’enorgueillir, il faudra bien “un nouveau souffle”, le souffle citoyen, le bon gros souffle des Citoyens Nandrinois pour vider les “écuries d’Augias* ” et donc, pour CHANGER cet état de choses, à Nandrin.
uPNc (mars 2018)
* Le 5ème travail d’Hercule fut de rendre PROPRES (cf. certaines affaires impliquant TOUJOURS le même parti, avec qui certain(e)s vont s’allier, ici, à Nandrin) les écuries d’Augias (fermier qui possédait 30.000 boeufs), lesquelles n’avaient plus été nettoyées depuis 30 ans !
Article complet du Journal La Meuse H-W du 2 mars 2018 clic ici Le nom de leur groupe: «Viv(r)e Nandrin»
Article de l’Avenir 2 mars 2018 clic ici «Vivre Nandrin», le nom de la liste Pollain, Tilman et Ramelot
Photo 1 ® Anne Geddes .
Photo 2 ® La Meuse H-W Sud info
Faisant suite à la parution de l’article de l’édition de Huy-Waremme du journal « La Meuse » intitulé « Les tas de terre du Péry évacués pour ne prendre aucun risque » relatif à la déclaration du bourgmestre de Nandrin, M. Lemmens laissant ainsi croire que c’est l’opposition « union Pour Nandrin/Pour Nandrin citoyenne » qui serait responsable du manque d’argent nécessaire à la réfection (rebouchage de trous) de voiries communales, notre groupe « uPN/PNc » communique la réflexion suivante en guise de mise au point.
» Dans l’article dudit journal de ce mardi 20 février, le bourgmestre de Nandrin, Michel Lemmens a déclaré que » Les plaignants ont réussi leur coup. Nous sommes bloqués. Nous avons payé cher l’évacuation des terres en décharge et nous n’avons plus rien pour boucher les trous sur nos routes . »
Les propos tels que formulés tentent à accréditer que c’est, entre autres et initialement, à cause de l’interpellation du groupe politique d’opposition « Pour Nandrin, citoyenne » relative aux dépôts non autorisés de déblais issus des travaux communaux dont des dépôts de fraisats hydrocarbonés que la commune de Nandrin se trouve aujourd’hui, vu le coût engendré par l’enlèvement de ces déblais et le nettoyage des lieux, dans l’impossibilité financière d’effectuer des rebouchages de trous (« nids de poule ») sur certaines voiries communales.
Cette déclaration fait, à nouveau, l’illustration de la malhonnêteté intellectuelle dont fait preuve ce responsable politique, au nom du collège communal qui, en la matière, commet un mensonge on ne peut plus grossier.
En effet, comment accréditer la thèse que la commune de Nandrin serait dans l’incapacité de payer ces petits travaux effectués par le personnel ouvrier communal quand on sait que le compte 2017 va, comme CHAQUE ANNEE, c’est à dire comme tous ceux des années antérieures (cf. documents officiels) depuis cinq ans au moins, enregistrer un boni de plusieurs centaines de milliers d’euros (incomparable par rapport au coût de quelques milliers d’euros qu’ont nécessité le raclage de ladite zone et le transport des déblais).
Et comment ne pas être tenté de rapprocher ces propos avec le coût de 1.900.000 euros de la nouvelle administration communale, projet qui ne figurait même pas dans le programme politique de la majorité « Expressions Commune(s) » et qui creuse encore un peu plus la dette communale ?
Par ailleurs, le responsable de cette situation, voire le coupable, n’est-il pas l’ensemble des membres du collège communal nandrinois, qui a accepté que ce type de dépôts NON AUTORISES (puisqu’aujourd’hui dénoncés par la Région wallonne et voués à être « régularisés », … après enquête publique, cette fois-ci !) soient installés au Péry, à même le sol et sans analyse préalable à tout transfert en décharge.
Car, non seulement, il y a eu, dans le chef des membres de l’exécutif communal, de l’imprévoyance qui s’apparente à de l’irresponsabilité politique mais aussi de la négligence GRAVE puisque, conscient de la problématique depuis la fin août 2017, suite au rapport accablant de la police de l’Environnement et à la demande de régularisation émanant de ladite la Région wallonne, la commune de Nandrin n’a pris AUCUNE disposition dont la plus ELEMENTAIRE, financière lors de la confection du budget 2018, pour intégrer les coûts de la remise en ordre du site.
RIEN n’a été, ainsi, prévu dans le budget 2018, RIEN quand ILS SAVAIENT à quoi s’attendre depuis des mois !
Et on voudrait faire croire, en février 2018, après tant d’années d’ignorance volontaire du problème que la soi-disant impécuniosité communale serait la faute de l’opposition « union Pour Nandrin/Pour Nandrin, citoyenne », parce qu’elle a alerté les autorités de tutelle et a attiré l’attention de tous les décideurs communaux, à de très NOMBREUSES séances du conseil communal et ce, durant toute la législature 2012-2018 !
Manipuler l’opinion publique restera à coup sûr la marque de fabrique de la majorité actuelle, celle du couple Lemmens-Pollain et de son équipe qui peuvent déjà compter autant leurs mensonges que leurs déboires. «
uPNa / PNC
Toutes les terres du Péry de Fraineux Nandrin retirées Article de La Meuse H-W clic ici
Et si ces deux cdH avaient eu, tout simplement, envie de choisir selon leur conscience et leurs aspirations !
De 24 à 66 ans, voici deux « politiques » qui décident, sans concertation avec leurs instances dirigeantes, semble-t-il, de franchir le cap, à savoir de DECIDER librement de s’engager autrement, hors de tout structure politique officielle !
Et alors ? Et pourquoi pas !
Certes, cela dérange et inquiète, manifestement, mais cela fait-il du tort à la démocratie ?
Chers Concitoyennes, chers Concitoyens,
Nous ne connaissons pas Opaline Meunier mais si elle habitait Nandrin, nous aurions beaucoup de plaisir à la rencontrer, à l’entendre et à l’accueillir !
Par ailleurs, le nandrinois Antoine Biémont nous est familier et nous voulons, « Pour Nandrin », « union Pour nandrin » et « Pour Nandrin, citoyenne », l’accueillir avec tout le respect qu’il mérite.
Sois le bienvenu, Antoine et merci pour ton choix.
uPNa
Caricature Le Zigomaton de Sudinfo La Meuse H-W du 27 janvier 2018
Pour Nandrin uPN à la Conférence de Marie Christine Marghem sur l énergie à Bruxelles le 18 novembre 2017
Un des élus du groupe uPN PourNandrin à la Conférence sur l énergie à Bruxelles par Marie Christine Marghem
Ministre de l’Energie, de l’Environnement et du Développement durable.
à la Residence Palace – International Press Centre.